À l’aube et sans fin

D’abord moi qui reviens

De ne plus savoir rien

D’en avoir connus trop

 

Et puis toi.

T’emplir de nous

T’aimer à déborder

Me raviser

À genoux

 

S’il nous reste un sanglot

D’orphelins une peine

Je me retiens

À toi.

 

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