Heureuse de figurer parmi les propriétaires pionniers qui confient leur appartement à la Mairie afin de loger les travailleurs locaux qui font vivre le village, dans une zone touristique en tension immobilière, été comme hiver. Pour le moment, cette option de location longue durée nous a séduits. Pour les amis amoureux du Haut-Aragon qui souhaitaient profiter de notre charmant appartement, repeint à neuf, et bien, patience… Quant à moi, un peu triste quand même… À bientôt village de mon enfance ! ❤️
La ville d’à côté
Et voilà, j’ai repris le chemin du conservatoire. Bonheur d’être réunis au service de la musique. Gracias !
À découvrir, une chanson enregistrée il y a 8 ans et mise en ligne il y a quelques jours…
À suivre donc…
Solita, con palabras
Apprendre à taire.
Qui en voudrait d’emblée ?
Qui sur la Terre
Désire à la faire trembler ?
Lo sentí, y falta por llegar
Todo el día pasa
Sin beso, sin nada
Y a la noche empieza
A faltar tu boca
Labios sobre labios
Boca en mi frente
Tiempos subterraneos
Buscan lo de siempre
Sabes, hoy me gusta
Sabe a mañana
Noche que separa
Noche amansada
Nadie pa’delante
En la nube estas
Besos de amante
De nuevo encontrarás
Un viejo camino
De esos a mejorar
Lo sentí precioso
Y falta por llegar…
Tout le jour se passe
Sans un baiser, sans rien
Et avec la nuit
Ta bouche commence à me manquer
Lèvres sur lèvres
Une bouche sur mon front
Temps souterrains
À la recherche d’un toujours
Tu sais, j’aime aujourd’hui
Il a la saveur de demain
Nuit qui sépare
Nuit apprivoisée
Personne à l’horizon
Tu es dans les nuages
Les baisers d’un amant
Tu retrouveras un jour
Un vieux chemin
Resté en attente
Des pas les plus beaux
Et il tarde…
De ma chambre de jeune fille !…
Jeudi 26 septembre
Et si je me débats
À coups de fils, de mots
Et de n’importe quoi
C’est pour le rendre beau
Ce monde. Qui parfois
El cantar tiene sentido el cantar
La super nouvelle du jour c’est que nous reprenons ces chansons écrites il y a 8 ans avec Mauricio Lozano et jouées avec l’ensemble adultes du Conservatoire de Vence, et que cet ensemble s’est étoffé depuis d’une contrebasse, d’un sax et d’un bandonéon. Aux anges. Et au plaisir de vous les interpréter en direct !
La chambre verte en photos.
Mercredi 18 septembre
Jamais rien n’égalera
Le monde en train de s’ouvrir
Et à jamais sur mes pas
Vint la grâce d’un sourire
J’aime le sud
J’aime l’automne
J’aime au soleil de nos fantômes.