Être au bord du Malvan : se tenir, seule fleur, au sort d’un lit à sec.
D’abord moi qui reviens
De ne plus savoir rien
D’en avoir connus trop
Et puis toi.
T’emplir de nous
T’aimer à déborder
Me raviser
À genoux
S’il nous reste un sanglot
D’orphelins une peine
Je me retiens
À toi.
On était très amoureux
Plût aux berbères des cieux
On était, on le sera
Bord de l’été, je pense à toi