Vestiges des nuits habitées
Rempart au non-sens d’un été
Je vous appelle.
La nausée de tous ces ratés
Rumba sans filet, c’est l’été
À tire-d’aile.
Des oraisons des oreillers
La tête inclinée s’est noyée
Je cours vers elle.
Désirs de sueur, abandonnés
Moi là, par erreur, à l’année
Sempiternelle.