Aux nouages amarrés

La nuit nous voulait debout

La mer nous a vus ivres

Émerveillés de vivre

Les corps avides de nous

 

J’aime celui qui se joue

Du passé com’ du pire

Je l’aime et je respire

Une intimité se noue

 

Assise

Le coeur

À la dérive

Sur ses genoux.

 

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *