Tourne la tête et je fonds
Com’si le désir enfin
Après des siècles à tâtons
Trouvait un jour son dessein
Tourne la tête et je fonds
Quai espéré puis soudain
Un abysse pour horizon
Dans son regard me soutient
Tourne la tête et je fonds
Coure la vie dans sa main
Une averse qui en dit long
Pleure le temps presqu’atteint
Tourne la tête et je fonds
Quand son sexe me retient
Qu’il prononce mon prénom
L’étrange réduit à rien.