Mon immigré

La marée nous ignore

Dans nos désirs d’harmonie

Jeux de jambes épanouis

Dans le genou d’un more

 

Je nous revois alanguis

Ta langue dirait plus encore

Je sais que never more

Too many larmes aussi

 

J’ai aperçu ton passé

Des méandres de ton corps

Et d’un geste je m’endors

Je n’ai jamais vu Alger.

 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *