Les chiens aboient
Tu es fraîche
Faveur à toi
De ma brèche
Un ami croît.
Me lleno tanto
Que estoy por llorar
Volver al viento
Y de nuevo empezar
Jaleo afuera
Un río Jara.
Les chiens aboient
Tu es fraîche
Faveur à toi
De ma brèche
Un ami croît.
Me lleno tanto
Que estoy por llorar
Volver al viento
Y de nuevo empezar
Jaleo afuera
Un río Jara.
Soirée de soutien au Nouveau Journal des Gens du Pays de Fayence.
Chapelle Notre Dame des Selves, à partir de 19h.
Réservations au 06 81 25 29 13.
Y a veces
Nos cuesta
Acudes
Menea
Mi amigo peor
Si vuelves
Mi boca
Sin bailes
Ni mora
Se olvidara de amor
A mis pies
La guerra
Tus golpes
De piedra
Aun siento el dolor
Canciones
Callada
Nos faltes
Palabra
Mi rezar. Su temblor
Et puis
La vie
Son lot de baisers volés à la nuit
Paupière
Éclair
Si pas de demain alors pas d’hier.
Une histoire se termine
Tous les traits
À la ligne
Comme un chat qui meurt sous mes yeux
Je pleure
C’est peut-être mieux ?
Pas des amis, bien des amants
Moins on s’comprend, plus on s’entend
Une résolution aux corps
Quoi de plus fort face à la mort ?
Quand s’empare le froid de tes reins
Que t’étreignent des pleurs hors-la-loi
Garde en mémoire à portée de main
Qu’au soleil il est parti sans toi.
Des sommets au vase
Ma petite maman
Se sent un peu naze
C’est les médicaments
Des douces Pyrénées
À mon appartement
La Méditerranée
Source d’apaisement
Soignée aux petits mets
Aux rires et caetera
Quand du vase aux sommets
Elle refleurira.

« L’avenir n’est pas pour demain. »
C’est déjà bien de me le dire
Les mots vrais me tiennent la main
Au désir des jours à venir
La distance aide à taire en vain
L’étrange de nos souvenirs
Quand la justesse d’un matin
Le cède au jeu vague du pire
Pour l’heure ne crois qu’au jasmin
Au rendez-vous l’envie d’en rire
Une bougie, de l’or divin
Le temps résiste et respire