Une réflexion philosophique, une allégorie du Temps. Deux ans après, je viens de modifier la fin… Mon Eurêka à moi !
Respirer parfois
Est si douloureux
Que d’autres en moi
Arpentent ces lieux
J’aime imaginer
Qu’à tant ressentir
De maux, allégé
Le monde respire
Ainsi ma peine
Devient sourire
Mots de mes veines
Réponse au pire.
Nous allons en avant
Des lambeaux à la main
Nous allons à demain
Voir ? Et le cœur tremblant
Nous allons lentement
Des lambeaux d’étoiles
L’angoisse au nid hurlant
De mes amygdales.