Un frio inmenso
Un cualquier
Unidos ibamos
No saber de tu ser
Un nido
C’est parce que
Y vamos !
Un frio inmenso
Un cualquier
Unidos ibamos
No saber de tu ser
Un nido
C’est parce que
Y vamos !
Dans la rue s’impatientent
Oracle au coin de la rue
Attendent. Ils semblent nus
Loin de l’or la tourmente.
Mes nuits m’appartiennent
Autant que je suis là
Mais nuit ma part tienne
Ô temps que je suis las !
Incierto momento
Te pregunto quien
Quien levanto los finales ?
En ciertos afanes
Corazones y ?
A lo intimo
Veo mas, vengo a ti
Corazones lejanos
Vuelven asi
Un nido precioso
Preguntando
Unidos de paso…
Agarro lado.
La tristesse en somme
Fille de l’automne
L’autre en moins te donne
Rime au fil d’un homme
Quand sourd la joie cachée
Au coeur soeur désirée
Ceux en trop amarrés
Jouissent à deux.
Les pavés, les ruelles
Les rues. Nées de la pelle
Vouloir en point de mire
Ce que parler veut dire
Ces ruées de la peine…
Deux trois mots à la traîne.
Trop souvent maltraitée
Artiste au coeur balan
Je déserte un semblant
De voie triste à blâmer
Trop souvent maltraités
Artistes
Condamnés.
Peur, désarroi, larme ou stupeur
Répondre.
Être là.
Juste avant, juste après
Les pleurs
Et rimer, seule, pour la beauté
Ou pour un quelque félibre
J’ai compris de l’équilibre
Et appris sur quel pied danser
Que le beau charrie la douleur
Que la douleur devienne un chant
Pour un mot, cent.