Et voilà, j’ai repris le chemin du conservatoire. Bonheur d’être réunis au service de la musique. Gracias !
À découvrir, une chanson enregistrée il y a 8 ans et mise en ligne il y a quelques jours…
À suivre donc…
Et voilà, j’ai repris le chemin du conservatoire. Bonheur d’être réunis au service de la musique. Gracias !
À découvrir, une chanson enregistrée il y a 8 ans et mise en ligne il y a quelques jours…
À suivre donc…
Apprendre à taire.
Qui en voudrait d’emblée ?
Qui sur la Terre
Désire à la faire trembler ?
Todo el día pasa
Sin beso, sin nada
Y a la noche empieza
A faltar tu boca
Labios sobre labios
Boca en mi frente
Tiempos subterraneos
Buscan lo de siempre
Sabes, hoy me gusta
Sabe a mañana
Noche que separa
Noche amansada
Nadie pa’delante
En la nube estas
Besos de amante
De nuevo encontrarás
Un viejo camino
De esos a mejorar
Lo sentí precioso
Y falta por llegar…
Tout le jour se passe
Sans un baiser, sans rien
Et avec la nuit
Ta bouche commence à me manquer
Lèvres sur lèvres
Une bouche sur mon front
Temps souterrains
À la recherche d’un toujours
Tu sais, j’aime aujourd’hui
Il a la saveur de demain
Nuit qui sépare
Nuit apprivoisée
Personne à l’horizon
Tu es dans les nuages
Les baisers d’un amant
Tu retrouveras un jour
Un vieux chemin
Resté en attente
Des pas les plus beaux
Et il tarde…
Et si je me débats
À coups de fils, de mots
Et de n’importe quoi
C’est pour le rendre beau
Ce monde. Qui parfois
La super nouvelle du jour c’est que nous reprenons ces chansons écrites il y a 8 ans avec Mauricio Lozano et jouées avec l’ensemble adultes du Conservatoire de Vence, et que cet ensemble s’est étoffé depuis d’une contrebasse, d’un sax et d’un bandonéon. Aux anges. Et au plaisir de vous les interpréter en direct !
Jamais rien n’égalera
Le monde en train de s’ouvrir
Et à jamais sur mes pas
Vint la grâce d’un sourire
J’aime le sud
J’aime l’automne
J’aime au soleil de nos fantômes.
Fascinée par ces fils
Qui jamais ne se rendent
Ô comme il est facile
Qu’une main nous attende
Au réveil j’aimerais
Au désir de ta sève
Alors entortillée
Moi aussi qu’on me lève
Et ainsi comme Agathe
Retomber sur mes pattes !