Ils prennent le large
Les contes de Loli
Seront mis en pages
Transcenderont l’ici
Et Loli est émue
De ce doux partage
Car des mains bienvenues
Veillent au sillage.
Ils prennent le large
Les contes de Loli
Seront mis en pages
Transcenderont l’ici
Et Loli est émue
De ce doux partage
Car des mains bienvenues
Veillent au sillage.
L’air est doux
Mai pointe son nez
Dans un Nous
Un conte illustré.
Mortellement de doutes
À taire cet éprouvé
En secret se retrouvait
L’harmonie de la route.
Invitation privée à un apéro-poésie
Samedi 4 mai, 18h
“LA POÉSIE EST UNE CLAMEUR”
Hommage à Arthur, Léo, Joan Manuel, Julos et Gabriel.
« La poésie est une clameur, elle doit être entendue comme la musique. Toute poésie destinée à n’être que lue et enfermée dans sa typographie n’est pas finie, elle ne prend son sexe qu’avec la corde vocale tout comme le violon prend le sien avec l’archet qui le touche ». Léo Ferré
Julie Saint-André (voix) et Patrock (guitare)
Chez Marc & Zahia aux Moulins à Tourrettes-sur-Loup. Chacun apporte une boisson, un salé ou un sucré. Confirmer votre venue par retour de mail.
Les Moulins. Prairie des Amants, 4 rue des moulins à Tourrettes-sur-Loup.
Liberté d’expression ?
Bémol.
Ça débite à foison
Ras l’bol.
Te souviens-tu du sage ?
L’à-peu-près des nuages
Cette courbe légère
Qui me laisse présager
La douceur d’une autre ère
D’un bonheur à partager.
Souvent larmes retenues
Deviennent des paroles
Qui réparent, consolent
Un équilibre rompu
JULIE LAISSER UN COMMENTAIRE MODIFIER
J’ai le teint basané
Hasard d’un nouveau-né
Un bazar sous le nez
Si fin du familier
Du soleil enfanté
Du Sud je suis signé
Balafré, bel été
Bonsoir dans vos soirées
J’ai laissé mon passé
Et confié mon enfant
J’ai le coeur arraché
Par les flots du printemps
Le soleil m’a banni
J’en ai perdu le Nord
Je meurs à peine ici
Et renais de ma mort.
Le monde est peuplé d’hommes
Qui ont tous mieux à faire
Que d’être avec moi
Je me plais
À le répéter
Et je ris
À force j’ai appris
Et je sais faire
À tant aimer les hommes
Qui ne sont pas là
Mais la peine est tangible
Je la porte à bout de bras
Tragique ? On choisit pas