Ta voix
Lo sentí, y falta por llegar
Au paradis du peut-être
Au paradis du peut-être
Le jasmin s’en donne à coeur joie
Jardin délaissé. Deux êtres
Peinent, et leurs sens en émoi
Des ratés à ma fenêtre
Aux coeurs qui fuient en toi et moi
Sombre jeu à chaque lettre
Et des ratures sous mon toit
Les ratés sonnent en désirés
Les demains soirs demandent à boire
Les fleurs de jasmin exhalaient
Un tapis. Seulement pour voir
Après-demain
Si fort était leur amour
Des années, de ses miettes
Empire de tous les jours
Construisent dans leur tête
Qui était le souverain ?
Ces deux-là l’ont désiré
L’amour se vit au matin
L’amour devint un baiser
“Tu ne perds rien” dit-elle
Je saurai t’aimer
Et toi ?
Tu m’aimeras.
Dans ma rue
Quatre-vingt-dix-neuf ans
Au demeurant, si tard
Aux dires et voeux d’antan
“Bien des choses à Gaspard”
Quatre-vingt-dix-neuf ans
Vingt et quatre font mille
Et fondent en coeur restant
Je sais des maths en ville
D’une à l’autre résidence
Aux âges incertains
Aux “Madame Provence”
Je tends la main.
Place du Grand Jardin
Traversée sans dessein
Sable aux mille recoins
Coeurs se donnant la main
Place du Grand Jardin
Un temps réinventé
Tu passais à côté
Sûre de te croiser
Salut ! Et s’arrêter
Suspendre le chemin
Pour un temps, pour un rien
Et parler du Jardin
…
Blancos y negros, un 1er mai
Lei al cielo
Se abrazaban las nubes
Y todo dicho
Un fulgor en una vez
El negro dijo
Bostezaron por un mes
Y malo tiempo
Rezando por un despues
Me gustan los dos
Rumbean los de alas
Pensando en vos
Sigue este tiempo atras
Blancos y negros.
Un canto de abril
Rêve d’appartement
Terrasses pour greniers
L’Espagne à côté
Très peu de murs dedans
Des souvenirs d’enfant
Le sommeil n’est pas né
Une Espagne rêvée
Pour un soleil naissant
Le feu le feu ses yeux
La mer la mer en mieux.
Numen
Numen temblando
Una noche por ti
Sol apagado
Y dentro yo te ví
Libro amarillo
De bolsillo “dé pluie”
Muro de sueño
Y te partes en mi
Brillos de un tiempo
Une farce à la vie
Por tu recuerdo
Pues lo digo así.