Unir nos nuits
Bercer le son
Bannir le bruit
Tout dire d’un trait
Triste à tourner
Bâtir un pont
Presque, presque
Arrivés.
Unir nos nuits
Bercer le son
Bannir le bruit
Tout dire d’un trait
Triste à tourner
Bâtir un pont
Presque, presque
Arrivés.
https://www.youtube.com/watch?v=Jmhq_85-3ds
Nos vies au son d’un ré
Amoureux pour un rien
Partition de nos mains
L’oeuvre viendra après
Vivre au seuil, à l’orée
Désoeuvrés au matin
Aux mots d’amour mutins
Partir et demeurer
Je vis à dévorer
Aujourd’hui fut demain
Avalé. Un refrain
Vole à remémorer
Le rattrape, on dirait
Pour un autre orphelin
Au rêve indistinct
Vivant, le chanterai.
De la tristeza encendida
Les llevaré un aplauso
De la ceniza de un día
Una canción o un canto
Un sobrepasa pirata
Un casi nada acá dentro
Lágrima que da la vuelta
Una sonrisa de lado
Para que veas mañana
Con alas ayer del duelo
Con lo que sé de la ola
Con lo que amo el encendio.
Qué tal today ?
Too many rêves
Tomorrow way
Prend la relève
Qué tal tu day ?
Aujourd’hui crève
Siempre pareil
Waiting for trêve
Mañana birth
Au son d’avant
Apenas mirth
Balancement.
Jouer sa vie à chaque heure
Les morts demeurent en rangs serrés
Bonheur-du-jour à l’arraché
Un bureau à tout-va d’erreurs
Aimer la vie, être sans peur
Saisir celui qui a trop dansé
Savoir se taire à ses côtés
Et lui souhaiter suite sans heurt
Des vivants aux mille lueurs
Les morts je n’ai pas invité
Un mourant d’envie apeuré
Je le rattrape à l’âme soeur.
Un enlace de sol
Brillos de primavera
Cuando enero se apaga
Amanece un farol
Y ahora con dos o tres
Le canto a la dulzura
Cuando el aire menea
Mis palabras en vez
Me gusta tu cuerpo
Un alivio del alma
Con borrar entra gana
Y entregarle… Amo.
Au temps de mes illusions
Suit le temps des yeux tout ronds
Petit chemin, grande vie
Regard penché près d’ici
Au temps du pourquoi, pour qui
Suit le temps de dire oui
Au coeur qui bat à tâtons
Et te donne des raisons
Petit chemin, grande vie
Mon temps fuit les insomnies
Le tien sème à l’abandon
Ensemble à l’unisson.
Aux charmes de la nuit
Journées à tire-d’aile
Dire l’amour avec lui
Taire nos jeux charnels
Aux drames de tes nuits
À tes journées sans elle
Damier d’un pion, d’un oui
Dommages d’hirondelle
Aux peut-être, à l’envi
Au dernier et à elle
Aux vertiges d’un lit
À l’autre que j’appelle.
L’air est nu des poussières
Respire… Tu en as trop vu
À vallonner sur Terre
À vivre à corps perdu
Inspirations amères
Rapide regard ténu
L’air est mu des Lumières
Immortelles amours nues
Cet air. Que puis-j’y faire ?
Rance, déjà entendu
Des siècles à le défaire
Journées à ramper dessus
Amoureuse en guerre
Amitiés aux vents déçus
Que le reste indiffère
Poussières à peine lues.