Sous le joug de l’intime
Joué à deux hasardé
Je joue un autre à border
Sous l’impair de la rime
Sous le joug de l’intime
Joué à deux hasardé
Je joue un autre à border
Sous l’impair de la rime
À l’enfant qui respire
Au creux difficilement
À tes mains qui désirent
Au coeur ostensiblement
Cicatrices du pire
Sillage des jours d’antan
Ces fossettes m’inspirent
J’y meurs ça prendra du temps
Ah ! La beauté d’un après
Ici se dérobe au gré
L’essentiel appris par là
Et le reste dans tes bras.
La nuit nous voulait debout
La mer nous a vus ivres
Émerveillés de vivre
Les corps avides de nous
J’aime celui qui se joue
Du passé com’ du pire
Je l’aime et je respire
Une intimité se noue
Assise
Le coeur
À la dérive
Sur ses genoux.
L’histoire que je vais conter
Sur la Terre s’est déroulée
A l’heure où pas un seul homme
N’en avait fait son royaume.
La planète était peuplée
D’animaux d’une rare beauté
C’était donc le paradis ?
Pas du tout, je vous le dis
Car pour leur plus grand malheur
Un seul semait la terreur.
Il n’était pas mammifère
Ni oiseau volant dans l’air
Pas insecte, pas poisson
Ni mollusque mollasson
Alors qui, me direz-vous
Effrayait jusqu’aux voyous ?
…
Un frio inmenso
Un cualquier
Unidos ibamos
No saber de tu ser
Un nido
C’est parce que
Y vamos !
Dans la rue s’impatientent
Oracle au coin de la rue
Attendent. Ils semblent nus
Loin de l’or la tourmente.
Mes nuits m’appartiennent
Autant que je suis là
Mais nuit ma part tienne
Ô temps que je suis las !
Incierto momento
Te pregunto quien
Quien levanto los finales ?
En ciertos afanes
Corazones y ?
A lo intimo
Veo mas, vengo a ti
Corazones lejanos
Vuelven asi
Un nido precioso
Preguntando
Unidos de paso…
Agarro lado.